Le réseau national de télécommunication par satellite RENATELSAT, direction provinciale du sud kivu n’a pas encore baissée les bras jusqu’à ce que certaines parties spoliées dans sa concession située à Karhale dans la commune de Kadutu par des particulier lui revienne.
Après avoir saisi toutes y compris l’auditorat militaire de Bukavu, ce samedi 09 Septembre 2023, une forte équipe constituée des magistrats de l’auditorat militaire, des agents du cadastre ainsi que des titres immobiliers s’est rendue sur place pour s’imprégner de la situation.
Sur le un hectare de ce site de l’Etat congolais, certaines parties sont à ces jours envahis par des particuliers parmi les quels des militaires et qui y ont déjà construits des maisons. Ici, les géomètres du cadastre vont alors mesurer de nouveaux les limites que le RENATELSAT prêtent être siennes et qui s’étendent sur une superficie de 1 hectare selon les documents de ce dernier.
Des limites qui ne sont plus respectée car déjà des particuliers y ont construits des maisons. Certains d’entre eux s’adressant à l’équipe de l’auditorat militaire disent détenir des certificats leur donné par le comité pour la rénovation de Bukavu auprès de qui ils auraient acheté.
Après cet entrain, le magistrat BAHATI MAKANO Chance de l’auditorat militaire précise que tous ces particuliers ensemble avec le CRB vont être invité pour être attendus. Sur place, une invitation a été remise à monsieur MAGAYANE Lucien se réclamant coordonnateur du CRB.
Vous allez vous rappeler que ce la fait un temps que le RENATELSAT dénonce la spoliation d’une partie de sa concession située à Karhale mais jusque là rien n’a été fait par les autorités tant nationales que provinciales pour qu’il soit remis dans ses droits. Son directeur provincial DAMAS MUNEMBWE ne cesse de plaider pour la clôture de toute cette concession pour sa sécurité.
Par plus tard que le jeudi dernier, dans son rapport rendu public sur la spoliation et vente des parcelles et maisons de l’État, la société civile du sud kivu a dénoncée la spoliation d’une partie du RENATELSAT sous un silence complice des autorités.
Rédaction