Dans une déclaration signée par des responsables des mouvements citoyens et groupes de pression du grand Kivu réunis dans un consortium de lutte pour la bonne gouvernance et contre la corruption et lu devant la presse ce mercredi 17 Septembre 2025, ces structures citoyennes alertent sur un plan machiavélique visant la tête de Vital KAMERHE, président de l’assemblée nationale de la RDC.
Dans ce document, le Consortium des mouvements citoyens, acteurs de la société civile et groupes de pression du grand kivu fait allusion aux pétitions initiées par certains députés membres de l’union sacrée de la nation contre le président de la chambre basse du parlement Vital KAMERHE et quelques membres de son bureau, des pétitions qui ont été déposées depuis lundi dernier au secrétariat général de cette chambre.
Alors que les députés pétitionnaires reprochent à KAMERHE entre autres la gestion opaque des fonds, le paiement partiel et irrégulier des émoluments des députés, la suppression des soins médicaux des députés ainsi que l’absence de dotation en véhicules de fonction et bien d’autres, les signataires de la dite déclaration parlent plutôt d’un arbre qui cache la foret.
Ils révèlent que c’est plutôt un putsch qui serait peaufiné par l’UDPS, parti au pouvoir ainsi que sa hiérarchie. Ils vont très loin jusqu’à pointer du doigt le chef de l’État, Félix TSHISEKEDI.
Ces derniers regrettent de constater que même des députés nationaux du Sud Kivu auraient signés à cette pétition visant leur frère du Kivu, Vital KAMERHE, un acte que ces mouvements citoyens et groupes de pression disent ne pas tolérer.

Dans leur déclaration, ces derniers mettent en garde tous ces élus nationaux qui soutiennent et qui voteront pour le départ de Vital KAMERHE à la tête de l’assemblée nationale.
Ils leurs promettent un désaveu pire et simple avec une opposition ferme à leur retour dans leurs bases respectives lors des échéances électorales à venir.
« Nous rappelons qu’en cette période de guerre, les priorités sont entre autres le rétablissement de la paix, l’amélioration des conditions de vie des congolais, la collaboration inter institutionnelle et extra institutionnelle pour une paix durable. La population n’est pas dupe, elle est consciente de la contribution de Vital KAMERHE dans la pacification du pays mais aussi son accession à la magistrature suprême. Malheureusement, nous constatons avec amertume et regret qu’aujourd’hui, le pouvoir est transformé en une arme pour liquider le partenaire et adversaire politique », peut on lire dans cette déclaration.
Se référant à la dernière déclaration du secrétaire général de l’UDPS Augustin KABUYA après l’entretien avec les députés pétitionnaires, les signataires de la déclaration demandent donc au président de la république, garant du bon fonctionnement des institutions de s’impliquer urgemment dans ce dossier au nom de l’unité et de la cohésion nationale, afin de trouver une solution durable à ce problème.
« On doit éviter les divisions et les conflits stériles en cette période. Nous demandons aux députés nationaux de se concentrer sur les questions prioritaires, surtout sécuritaires au cours de cette session parlementaire. Un avertissement ferme et sévère est donné aux élus nationaux du grand Kivu et du Sud-Kivu en particulier, à tout député qui, à cause de la corruption va s’impliquer dans cette mafia, cet acte sera considéré comme une haute trahison« , ajoutent les signataires.
Les signataires de la déclaration demandent en outre aux membres des comités de Cinyabuguma et de Lusu Lega se trouvant à Kinshasa de briser le silence en apportant un soutien indéfectible à Vital KAMERHE, leur frère.
Dans une déclaration signée par des responsables des mouvements citoyens et groupes de pression du grand Kivu réunis dans un consortium de lutte pour la bonne gouvernance et contre la corruption et lu devant la presse ce mercredi 17 Septembre 2025, ces structures citoyennes alertent sur un plan machiavélique visant la tête de Vital KAMERHE, président de l’assemblée nationale de la RDC.
Dans ce document, le Consortium des mouvements citoyens, acteurs de la société civile et groupes de pression du grand kivu fait allusion aux pétitions initiées par certains députés membres de l’union sacrée de la nation contre le président de la chambre basse du parlement Vital KAMERHE et quelques membres de son bureau, des pétitions qui ont été déposées depuis lundi dernier au secrétariat général de cette chambre.
Alors que les députés pétitionnaires reprochent à KAMERHE entre autres la gestion opaque des fonds, le paiement partiel et irrégulier des émoluments des députés, la suppression des soins médicaux des députés ainsi que l’absence de dotation en véhicules de fonction et bien d’autres, les signataires de la dite déclaration parlent plutôt d’un arbre qui cache la foret.
Ils révèlent que c’est plutôt un putsch qui serait peaufiné par l’UDPS, parti au pouvoir ainsi que sa hiérarchie. Ils vont très loin jusqu’à pointer du doigt le chef de l’État, Félix TSHISEKEDI.
Ces derniers regrettent de constater que même des députés nationaux du Sud Kivu auraient signés à cette pétition visant leur frère du Kivu, Vital KAMERHE, un acte que ces mouvements citoyens et groupes de pression disent ne pas tolérer.
Dans leur déclaration, ces derniers mettent en garde tous ces élus nationaux qui soutiennent et qui voteront pour le départ de Vital KAMERHE à la tête de l’assemblée nationale.
Ils leurs promettent un désaveu pire et simple avec une opposition ferme à leur retour dans leurs bases respectives lors des échéances électorales à venir.
« Nous rappelons qu’en cette période de guerre, les priorités sont entre autres le rétablissement de la paix, l’amélioration des conditions de vie des congolais, la collaboration inter institutionnelle et extra institutionnelle pour une paix durable. La population n’est pas dupe, elle est consciente de la contribution de Vital KAMERHE dans la pacification du pays mais aussi son accession à la magistrature suprême. Malheureusement, nous constatons avec amertume et regret qu’aujourd’hui, le pouvoir est transformé en une arme pour liquider le partenaire et adversaire politique », peut on lire dans cette déclaration.
Se référant à la dernière déclaration du secrétaire général de l’UDPS Augustin KABUYA après l’entretien avec les députés pétitionnaires, les signataires de la déclaration demandent donc au président de la république, garant du bon fonctionnement des institutions de s’impliquer urgemment dans ce dossier au nom de l’unité et de la cohésion nationale, afin de trouver une solution durable à ce problème.
« On doit éviter les divisions et les conflits stériles en cette période. Nous demandons aux députés nationaux de se concentrer sur les questions prioritaires, surtout sécuritaires au cours de cette session parlementaire. Un avertissement ferme et sévère est donné aux élus nationaux du grand Kivu et du Sud-Kivu en particulier, à tout député qui, à cause de la corruption va s’impliquer dans cette mafia, cet acte sera considéré comme une haute trahison« , ajoutent les signataires.

Les signataires de la déclaration demandent en outre aux membres des comités de Cinyabuguma et de Lusu Lega se trouvant à Kinshasa de briser le silence en apportant un soutien indéfectible à Vital KAMERHE, leur frère.
Notez que la plénière consacrée à l’examen de toutes ces pétitions visant la destitution des cinq membres du bureau de l’assemblée nationale dont Vital KAMERHE est convoquée pour ce mercredi 17 Septembre 2025.
Elle a été convoquée par Jean-Claude Isaac Tshilumbayi, premier vice-président de ladite chambre. Cette plénière aura pour but de mettre en place une commission spéciale et temporaire qui devra examiner les pétitions. Les concernés sont Vital KAMERHE (président), Jacques Djoli (rapporteur), Dominique MUNONGO (rapporteure adjointe), Chimène Polipoli (questeure) et Grâce Neema (questeure adjointe).
La commission spéciale sera constituée d’un délégué de chaque groupe parlementaire. Elle devra examiner notamment les conditions de recevabilité de ces pétitions et déposer son rapport au bureau. Ce rapport doit faire l’objet de débat à la plénière avant de procéder au vote à bulletin secret sur la déchéance ou non de chaque membre du bureau visé.
Trésor KYEMBWA




